Le bus nous attend. Malheureusement, le chauffeur a emmené une jeune demoiselle qui a, comment dire, des arguments imposants.
En gros, en cas de respiartion un peu forte, les boutons de son chemisier vont exploser. Jusque là, rien de génant, si ce n'est qu'il a une méchante tendance à regarder sur sa droite plutôt que de regarder la route, et, que par prudence il roule très lentement. On mettra plus de trois heurs pour faire 160 kilomètres.
Willy, notre guide, finira par aller s'asseoir à l'avant, en demandant à la jeune demoiselle de "dégager"